A l'origine
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A l'origine
Synopsis :
« Philippe Miller » (Paul) est un escroc, peut-être un ex-taulard, qui vit d'abus de confiance et de petites combines. Suite à une méprise, il est pris pour un chef de chantier d'une grande multinationale de travaux public et est accueilli comme le « messie » qui relancerait un chantier local arrêté depuis deux ans dans une petite ville du nord de la France frappée durement par le chômage. Ce chantier d'autoroute fut stoppé sur décision administrative à cause de la présence, sur le tracé de la voie, d'une variété de scarabée extrêmement rare et en voie d'extinction, le pique-prune. Miller se voit proposer divers pots-de-vin de la part des entrepreneurs locaux pour l'attribution des marchés et décide de continuer la supercherie à son bénéfice. Avec l'aide active de la municipalité et de la population locale, il réussit à relancer les travaux en prenant la tête d'une filiale fictive du grand groupe et ainsi fait renaître l'espoir parmi la population désœuvrée. Cependant il se rend compte, peu à peu, que sa machination le dépasse et voit son énorme mensonge se transformer en vérité. Il décide de pousser la mystification jusqu'au bout et doit lutter pour trouver l'argent afin de mener les travaux, honorer les échéances des factures, et payer les salaires des ouvriers en jouant d'astuces et d'escroqueries auprès de vraies entreprises de travaux publics et de banques pas trop suspicieuses. D'inévitables problèmes de trésorerie et le retour d'un ancien complice réclamant des bakchichs, vont semer le doute parmi la population et le banquier qui se montre de plus en plus impatient. Poussé dans ses ultimes retranchements et ne voulant finalement pas renoncer à cette réalisation qui donne enfin un sens à sa vie, il décide d'utiliser l'ensemble de l'argent liquide qu'il avait reçu en pots-de-vin pour parer au plus pressé. De plus, constatant de nombreuses irrégularités dans sa gestion, ses fournisseurs vont découvrir que le groupe dont sa société est censée être une filiale n'est au courant de rien déclenchant immédiatement une plainte auprès de la gendarmerie. Miller, dans un ultime effort avec ses ouvriers, réussit à achever le tronçon d'autoroute débuté, et demande la clémence pour son équipe au groupe de BTP, avant de se laisser arrêter.
Distribution :
François Cluzet : Paul / Philippe Miller
Vincent Rottiers : Nicolas, le petit ami de Monika
Emmanuelle Devos : Stéphane, la maire
Brice Fournier : Louis, le chef de chantier
Stéphanie Sokolinski : Monika
Gérard Depardieu : Abel
Thierry Godard : le banquier
Patrick Descamps : le patron de l'hôtel
Franck Andrieux : Pascal
Roch Leibovici
Nomination et récompenses :
César 2010 de la meilleure actrice dans un second rôle pour Emmanuelle Devos.
2010 : Glynn Speeckaert obtient le Prix Lumière pour la meilleure photographie.
2009 : le film est en compétition lors du Festival de Cannes 2009
César du cinéma 2010 : 11 nominations
César du meilleur film
César du meilleur réalisateur
César du meilleur scénario original
César du meilleur acteur
César de la meilleure actrice dans un second rôle
César du meilleur espoir féminin
César de la meilleure musique écrite pour un film
César de la meilleure photographie
César du meilleur montage
César du meilleur son
César du meilleur décor
« Philippe Miller » (Paul) est un escroc, peut-être un ex-taulard, qui vit d'abus de confiance et de petites combines. Suite à une méprise, il est pris pour un chef de chantier d'une grande multinationale de travaux public et est accueilli comme le « messie » qui relancerait un chantier local arrêté depuis deux ans dans une petite ville du nord de la France frappée durement par le chômage. Ce chantier d'autoroute fut stoppé sur décision administrative à cause de la présence, sur le tracé de la voie, d'une variété de scarabée extrêmement rare et en voie d'extinction, le pique-prune. Miller se voit proposer divers pots-de-vin de la part des entrepreneurs locaux pour l'attribution des marchés et décide de continuer la supercherie à son bénéfice. Avec l'aide active de la municipalité et de la population locale, il réussit à relancer les travaux en prenant la tête d'une filiale fictive du grand groupe et ainsi fait renaître l'espoir parmi la population désœuvrée. Cependant il se rend compte, peu à peu, que sa machination le dépasse et voit son énorme mensonge se transformer en vérité. Il décide de pousser la mystification jusqu'au bout et doit lutter pour trouver l'argent afin de mener les travaux, honorer les échéances des factures, et payer les salaires des ouvriers en jouant d'astuces et d'escroqueries auprès de vraies entreprises de travaux publics et de banques pas trop suspicieuses. D'inévitables problèmes de trésorerie et le retour d'un ancien complice réclamant des bakchichs, vont semer le doute parmi la population et le banquier qui se montre de plus en plus impatient. Poussé dans ses ultimes retranchements et ne voulant finalement pas renoncer à cette réalisation qui donne enfin un sens à sa vie, il décide d'utiliser l'ensemble de l'argent liquide qu'il avait reçu en pots-de-vin pour parer au plus pressé. De plus, constatant de nombreuses irrégularités dans sa gestion, ses fournisseurs vont découvrir que le groupe dont sa société est censée être une filiale n'est au courant de rien déclenchant immédiatement une plainte auprès de la gendarmerie. Miller, dans un ultime effort avec ses ouvriers, réussit à achever le tronçon d'autoroute débuté, et demande la clémence pour son équipe au groupe de BTP, avant de se laisser arrêter.
Distribution :
François Cluzet : Paul / Philippe Miller
Vincent Rottiers : Nicolas, le petit ami de Monika
Emmanuelle Devos : Stéphane, la maire
Brice Fournier : Louis, le chef de chantier
Stéphanie Sokolinski : Monika
Gérard Depardieu : Abel
Thierry Godard : le banquier
Patrick Descamps : le patron de l'hôtel
Franck Andrieux : Pascal
Roch Leibovici
Nomination et récompenses :
César 2010 de la meilleure actrice dans un second rôle pour Emmanuelle Devos.
2010 : Glynn Speeckaert obtient le Prix Lumière pour la meilleure photographie.
2009 : le film est en compétition lors du Festival de Cannes 2009
César du cinéma 2010 : 11 nominations
César du meilleur film
César du meilleur réalisateur
César du meilleur scénario original
César du meilleur acteur
César de la meilleure actrice dans un second rôle
César du meilleur espoir féminin
César de la meilleure musique écrite pour un film
César de la meilleure photographie
César du meilleur montage
César du meilleur son
César du meilleur décor
Re: A l'origine
tu l'as vu?
Stephanie- Admin
- Nombre de messages : 116
Age : 37
Date d'inscription : 24/05/2007
Re: A l'origine
Je voulais trop y aller! En plus tu m'a dit elle était venu faire l'avant première à Toulouse!
Mais je l'ai sur mon ordi ! Faut que je le vois
Mais je l'ai sur mon ordi ! Faut que je le vois
Re: A l'origine
mokay par contre moi je l'ai toujours pas vu il faut que j'achete le dvd
Stephanie- Admin
- Nombre de messages : 116
Age : 37
Date d'inscription : 24/05/2007
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